la famille addams

 

 

 

dsl, je n'arrive plus a faire le copié-collé mais c'est un site sur lequel vous trouverez toutes les répliques les plus morbides de la famille Adams ou Addams.

 

et voici la famille Adams 2:

Une anesthésie ?

Docteur : Madame Addams, souhaitez vous une anesthésie ?
Morticia : Non, sans façon. Proposez la donc aux enfants.

 

 

[Morticia découvre la chambre préparée par Gomez]
Morticia : Oh Gomez... c'est lugubre, déprimant, une abomination.
Gomez : La chambre d'enfant idéale.
Morticia : C'est un rêve.

Une chambre d'enfants

Gomez : Il a les yeux de mon père ce cher ange.
Morticia : Gomez, enlèves-les lui de la bouche.

Mercredi : Puxley, le bébé pèse 5 kilos, le boulet de canon en pèse cinq de plus, lors lequel heurtera le béton armé avant l'autre?
Pugsley : J'en suis encore qu'aux fractions...
Mercredi : Essaies de deviner.
Pugsley : Alors disons le boulet.
Mercredi : Magistral, mais lequel des deux va rebondir ?
Pugsley : Le bébé ?
Mercredi : il y a un seul moyen de deviner.

 

 

[À propos du bébé]
Pugsley : On veut seulement jouer avec lui.
Mercredi : Avec sa tête surtout.

 

 

Zéro pour la républiqueMercredi : Mort ! Mort à tous les ennemis du peuple et de la République ! [la guillotine s'abat sur une pastèque, la coupant en deux] Hourra ! Justice est faite. Amenez ci-devant l'être maudit [Pugsley installe le bébé sous la guillotine sous le son de la Marseillaise] Vous avez trahi le peuple de France, vous êtes un supo de l'enfer. Comment allez vous plaider ? 
Pugsley [à la place du bébé] : Coupable !

Mercredi : Vous entendez ? Il vient lui même de l'admettre, le prisonnier est condamné à mort. Bourreau, qu'il prenne place sous l'échafaud. Un... deux...
Morticia : Les enfants, que faîtes vous là-haut ?
Les enfants : On fait joujou ! Trois ! [le bébé bloque la lame avec ses doigts]
Mercredi : zéro pour la République.

 

[Le soir, tandis que Morticia et Gomez passent un moment "romantique" et que les enfants chahutent et cassent une fenêtre]
Morticia : Une maison, trois enfants, et tellement de fenêtres.

 

Deb : Quelle œillade assassine !
Gomez : On m'a acquitté !
Deb : J'ai apporté toutes les références, sachez que je ne suis pas une meurtrière paranoïaque !
Morticia : Bien sûr que non...
Gomez : Vous êtes trop jeune...

 

Deb : Oh, c'est votre petite grenouille ?
Morticia : Oh non, ça c'est notre bébé.
Deb : Oh, il est adorable, il est parfait, comment s'appelle-t-il ?
Morticia : Ce fut un enfer, nous avons épluché le calendrier, tous les prénoms habituels...
Gomez : Lucifer.
Morticia : Benito.
Gomez : Mao.
Morticia : Mais la raison l'a emporté, un prénom simple, qui plairait à tous les enfants.
Gomez : Puberté !

Morticia : Les enfants, je vous présente Mademoiselle Jellinski, votre gouvernante. Qu'est-ce qu'on dit ?
Mercredi : Vous allez souffrir, vous allez beaucoup souffrir.

Ou enfant unique...

Deb : Je parie [...] que parfois vous regrettez les temps où vous n'étiez encore que deux n'est-ce pas ?
Mercredi : Ou enfant unique.

 

Morticia : Mercredi, regarde les autres enfants, leurs tâches de rousseurs, leurs yeux clairs et brillants, leurs sourire amical, fais ce que tu peux pour eux.

 

Père d' Amanda : Notre Amanda a deux ans d'avance, et votre petit garçon ?
Gomez [fier] : En conditionnelle.

 

Morticia [en parlant de Mercredi aux parents d'Amanda] : Elle approche de l'âge où toutes les jeunes filles ne pensent qu'à une seule chose.
Mère d'Amanda : L'Amour...
Mercredi : l'homicide.

 

[Les enfants se préparent à obtenir un brevet de sauveteur]
Amanda : Ce sera moi la victime !
Mercredi : Oui, toute ta vie...

 

Il s'en passe de belles ici !La grand mère : Ce petit sait qu'il s'en passe de belles dans les parages, si Fétide ne revient pas ici, cet enfant aura des faussettes,
Gomez : Pas tant qu'il sera sous ce toit !
La grand mère : Ce malheureux risque d'en avoir pour des années, pour toute la vie, il deviendra sûrement avocat !
Gomez : Je refuse d'entendre ça.
La grand mère : Ou juge ou dentiste...
Morticia : Maman, je t'en supplie
La grand mère: Président des États-Unis...
Gomez : Pitié, je t'en supplie à genoux, prends moi. [sanglots]

 

[tandis que Fétide s'enfuit grâce à la chose]
Deb : J't'aurai un jour, ta main n'aura pas le dernier mot !!!

 

Morticia : Mon bébé est malade, et mon cher époux se meurt. Oh maman, comment vais-je m'en sortir ?
La grand-mère : Tu as déjà la robe noire chérie ! 

Roudoudou d'amour !


Fétide
: C'est moi Gomez, j'ai voulu devenir ce que je n'suis pas, je vie dans la Honte et un pavillon de banlieue.
Gomez : Mais tu es devenu le jouet de Debbie, tu est son roudoudou d'amour, tu-es-Mon-sieur-Debbie
Fétide : Non ! Je suis un Addams !!!
Gomez : Fétide !!!

 

Deb : Je ne veux faire de mal à personne. Je n'éprouve aucune jouissance à faire le mal. Je n'aime ni les fusils, ni les bombes, ni les chaises électriques. Mais parfois les gens refusent de m'écouter, alors je dois faire appel à la force... et aux diapositives.

 

Gomez [quand Deb demande si l'un d'eux l'a aimée et alors qu'ils sont attachés aux chaises électriques] : Levez la main.

 

Fétide : Un premier anniversaire, mais quelle joie, et dire que j'ai failli manquer tout ça. Que pouvais-je donc avoir à l'esprit ?
Mercredi : Le plaisir physique.
Fétide : Hum...mmm... mouais...

Dementia
Margareth
: Ne nous en veuillez pas, nous avons une invitée, notre nouvelle gouvernante, Démentia.
Fétide : Ohhh Dementia, que voilà un prénom admirable !!
Démentia : Cela veut dire aliénation.
Fétide : Ohhh moi, je m'appelle Fétide, cela veut dire répugnant.

 

Gomez: À notre passion...
Morticia : Au paradis...
Gomez: À la souffrance...
Morticia : À ce soir...

Joël : Tu as une famille vraiment passionnante. Tes parents sont tellement compromis l'un avec l'autre ...

 

 

Joël : Si tu rencontrais l'homme idéal, qui tomberait à genou devant toi, un homme qui serait prêt à tout pour toi, prêt à devenir ton esclave, dis moi ce que tu ferais.
Mercredi : Je crois que j'le plaindrai.

 

et une vidéo pour l'accompagner:

 

sic gorgiamos allos subjectos nunc : nous aimons nous repaître de ceux qui aimeraient nous soumettre.(devise de la famille)
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